Alexandra ROSE
Notre carte graphique
- qu’elle aille plus loin que notre processeur interne – « Je peins et dessine depuis toujours. J’ai fait de l’illustration jeunesse. J’ai d’ailleurs réalisé et publié deux imagiers ». Pas mieux.
- qu’elle ait une meilleure définition d’ (de l’) image –«j’ai illustré nombre de livres édités. Et j’ai eu la chance surtout, il y a quelques années, de travailler avec Philippe Starck ». CQFD
- que son GPU à savoir sa performance en calcul de graphisme soit redoutable, – « je suis graphiste depuis des années. De formation et de métier ». Rôdée.
- que sa mémoire soit rapide pour stocker et analyser les données. Qualifiée.
Nous savons déjà qu’avec Alexandra, tout va être disséqué, décodé, analysé. C’est avec elle que nous allons voir l’envers de l’image, son mouvement, son intention.
Parmi les projets qui l’ont marquée, elle note : « je suis fière d’avoir édité avec les Éditions des immortelles deux imagiers bilingues destinés aux tout-petits. Ce projet correspondait avec la naissance de mon fils et je me suis vraiment amusée ». Et ajoute : « puis il y a eu le chalenge start-up. Alors que j’étais responsable artistique et communication, j’ai participé au lancement d’un produit en collaboration avec Philippe Starck. Ce fut très enrichissant ! »
Parmi les événements qui l’ont marquée, elle note : « la mort de lady Diana. Je suis en ce moment à fond dans la série The Crown et ayant eu une grand-mère d’origine Anglaise, j’ai grandi avec les portraits de la Royal Family au fond des assiettes et des tasses à café. Et j’avoue que c’est toujours le cas ! »
C’est sans hésiter qu’elle choisit « le cultissime » Shallow Grave (Petits Meurtres entre amis) comme film anglais préféré et Purdey (Chapeau Melon et bottes de cuir) comme personnage dans lequel être réincarnée.
Enfermée dans Buckingham, elle met à fond Sympathy for the devil des Rolling Stones et chante, danse, saute avec son fils sur le lit de sa Majesté…
Pour Alexandra, les « véritables grands moments sont à venir », à commencer par le festival du film anglais, Under my Screen, « le festival idéal, of course » !
Cher jury pro, tu es chanceux, dans cette nouvelle carte graphique, il n’y a rien à jeter !