La presse en parle…

Hopkins et Goode livrent deux performances discrètes mais impressionnantes de précision.
The Sun

Juste au moment où vous pensez savoir tout ce que Hopkins peut faire, il creuse et propose quelque chose de nouveau.
San Francisco Chronicle

Freud’s Last Session s’impose comme un plaisir intellectuel, dominé par la prestation éblouissante d’Anthony Hopkins, acteur caméléon par excellence à côté duquel Matthew Goode fait excellente figure.
Le Journal de Montréal

L’avis d’Under my Screen…

On sait que Freud, trois semaines avant sa mort, en 1939, a rencontré un éminent professeur d’Oxford. On ignore de qui il s’agit, mais le réalisateur Matt Brown a décidé d’adapter la pièce de Mark St. Germain en imaginant que le visiteur mystérieux n’est autre que C. S. Lewis, auteur des célèbres Chroniques de Narnia et professeur de littérature. Alors, s’ils s’étaient croisés, de quoi auraient-ils parlé ?
Freud était juif, mais athée ; C.S. Lewis, après des années d’athéisme se convertit à la foi anglicane. Le premier tentait de comprendre l’esprit humain au moyen de la science, tandis que le second envisageait le monde d’un point de vue plus spirituel. Leur conversation commence par l’existence ou de l’inexistence de Dieu et graduellement glisse vers les rapports à autrui, à leurs proches et à leurs amis.
Clin d’œil UMS : Anthony Hopkins a incarné C. S. Lewis en 1993 dans Les Ombres du Cœur.